Nous parlons d'un 4ème état de conscience, la conscience transcendantale, qui se différencie singulièrement des 3 autres états classiques de conscience : la veille, le rêve et le sommeil, par ses caractéristiques biologiques : marqueurs du stress et marqueurs du bien-être, ses tracés électroencéphalographiques : cohérence EEG alpha 1, sa neuro-imagerie : TEP et thermographie, ainsi que l'utilisation des réserves latentes du cerveau : potentiels évoqués du nerf médian.
Toutes ces constantes réunies, permettent de valider objectivement les états de conscience supérieurs expérimentés lors de cette plongée biquotidienne et régulière en son for intérieur, que permet si aisément la technique de Méditation Transcendantale. Elle s'accompagne d'une expérience associant profond repos, stabilité et dynamisme infini de la conscience, ainsi qu'un état de bien-être unique.
Le profond repos est validé par les marqueurs du stress. le dynamisme infini par le fonctionnement optimal du cerveau : cohérence EEG, QI, fonctions cognitives et réserves latentes cérébrales, le bien-être par la sérotonine.
Ces constantes physiologiques témoins d'une harmonie unique de la physiologie, sont liées au mode d'action fondamental de la Méditation Transcendantale : l'esprit s'établit sans effort à son niveau de moindre excitation, complètement apaisé, à la source de la pensée, où la conscience est pure et illimitée, et gagne les caractéristiques des états d'entropie zéro.
Dès les années 70 le Dr Robert Keith Wallace publia des recherches sur les constantes physiologiques associées à la Méditation Transcendantale, et en 1986 il publia un livre sur « la neurophysiologie de l'illumination » : The Neurophysiology of Enlightenment, diffusé par Maharishi University of Management Press, 1986. Soft cover, 386 pages).