Elles sont liées en général à un « mal être intérieur » que l'on cherche à apaiser par le facteur addictif (tabac, alcool, drogues multiples, etc.)
En ramenant l'esprit vers la source de la pensée, c'est-à dire vers un domaine de très grande stabilité, d'éveil total de la conscience et surtout de bien-être, le mouvement vers l'intérieur par la MT élimine radicalement le facteur étiologique de l'addiction : le « mal-être intérieur ».
Ce mécanisme fondamental explique les résultats si convaincants et sans commune mesure par rapport aux autres thérapies standard, et surtout le sevrage du facteur addictif sans frustration ni contrainte.
Plus de 50% de sevrages alcooliques avec la Méditation Transcendantale en comparaison avec les 10% dans les protocoles singuliers utilisant un traitement médicamenteux substitutif (Acamprosate, Naltrexone, Disulfirame, Baclofène…), et 20% dans les protocoles associant en plus un soutien psychothérapeutique (individuel ou collectif (« Alcooliques Anonymes »…))1
Deux fois plus de sevrages tabagiques avec la Méditation Transcendantale en comparaison avec les autres protocoles thérapeutiques classiques, dans une méta-analyse regroupant l'ensemble des études scientifiques sur le sujet1.
Quatre fois plus de sevrages aux substances exogènes (héroïne, coke, cannabis…) dans le groupe Méditation Transcendantale par rapport aux protocoles standards1.
Référence bibliographique : Charles N. Alexander, Pat Robinson and Maxwell Rainforth : Treating and preventing alcohol, nicotine and drug abuse through Transcendental Meditation. A review and statistical Meta-Analysis.
Alcoholism Treatment Quaterly 11 : 13-87,1994.
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